C’est aussi la rentrée pour le cinéma numérique !
# Un édito particulièrement intéressant du site Manice
A lire : Les risques du cinéma numérique à très grande vitesse
# La dématérialisation du transport des films
Si la disparition de la pellicule est l’élément le plus spectaculaire de la numérisation des salles, le support de transport n’a pas encore tout à fait disparu. Le disque dur est encore un moyen de transport des DCP très courant (plus de la moitié des transports de films) mais on se dirige vers la dématérialisation des modes de transport. Deux types coexistent : les réseaux terrestres à haut débit (ADSL et fibre optique) et le satellite. Ce dernier permettant la diffusion d’événements culturels et sportifs.
A lire : Tableau récapitulatif/comparatif des deux principales offres : Smartjog (TDF) et Globecast (Orange).
# Et ailleurs, ça se passe comment ?
La Région Aquitaine a été la première en 2009 à se saisir de la question de l’équipement numérique des salles. Lors des Rencontres Régionales du cinéma numérique, le 23 mars dernier, un premier bilan a été présenté. En trois ans, 74 salles pour 95 écrans ont été aidées. Quelles pistes de réflexion pour le futur des salles ?
A voir/ A écouter : « Demain, la salle de cinéma... ». Journée organisée par l’agence ECLA et l’ACPA.
# Retour vers le futur
Après la spatialisation du son, l’atmosphérisation ! Dolby a présenté en avril, lors du CinemaCon de Las Vegas, sa nouvelle innovation technique : le Dolby Atmos. Cette technologie permet de placer des haut-parleurs au-dessus des spectateurs et de créer du son en mouvement dans la salle. Elle s’appuie sur la gestion de 128 canaux réunis dans un seul et même fichier contenant également les classiques 2.1, 4.1, 5.1. Premier film à bénéficier de cette technologie : Rebelle des studios Pixar, pour une seule salle en Europe... à Barcelone
A voir : « Hear the whole picture » (en anglais)
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